Texte publié initialement sur TELEGRAM.
Il n’y a plus de femmes ou d’hommes traditionnels dans les grandes villes du monde blanc. De Seattle à Vladivostok, c’est terminé. Pas de quoi en faire un drame, les pays du Nord sont tous entrés dans la modernité et il faut vivre avec son temps.
Il y a des femmes pauvres dans des pays pauvres, et il y a des femmes riches dans des pays riches, qui elles sont indépendantes et qui ont l’embarras du choix.
Les femmes pauvres sont plus faciles à obtenir (amoureusement et sexuellement), et ont des désirs de vie plus simples que les femmes riches (occidentales).
Toute autre analyse conduira celui qui la fait au booming dissident (exemple : mecs de 45/50 ans qui cherchent des Russes de 20 ans dans la fin fond de la Sibérie, et qui ragent parce que même là-bas, la nana a plus de chances de s’enrichir avec Instagram qu’avec lui) ou à une HAINE PURE et CONTINUELLE depuis la France.
Le mec qui va tenir ce genre de positions est un “décadent conservateur”, je n’en ai rencontré que trop. Ils sont obsédés par la décadence des moeurs mais ce sont les types les plus décadents que j’ai jamais rencontrés : obsédés sexuels, fumeurs de joints, alcooliques, parfois les trois.
- Pour eux, la décadence assumée : les putes Noires, Arabes, les coups d’un soir obtenus à l’arrachée sur les sites de rencontres, voire les travelos ET SURTOUT une incapacité à se poser même quand ils tombent sur une femme bien (critique des “Magalax”, c’est-à-dire les femmes au profil de mères au foyers).
- Pour les autres, le conservatisme obligatoire : s’ils voient une Slovaque danser sur de la musique rap quelque part, ils vont sortir une analyse déjà toute prête sur la décadence occidentale et souhaiter que Poutine fonde sur l’Europe centrale en brûlant tout sur son passage.
Ma longue expérience d’aide amicale puis tarifée des hommes de droite célibataires m’a fait comprendre qu’il y a une ÉNORME hypocrisie dans notre milieu. ⬇️ ⬇️ ⬇️
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