Concernant la Nouvelle-Calédonie, mon avis en peu de mots est le suivant.
La perte de respect envers l’homme blanc des populations non-européennes que nous avons soumises, parce que nous étions et que nous sommes toujours supérieurs à elles, est la cause de tous nos problèmes actuels.
Que nous partions ou pas en laissant leur indépendance à ces peuples à qui nous avons fait le cadeau de la civilisation, ils nous en voudront d’une égale manière, et nous serons éternellement considérés comme responsables de leurs malheurs.
Admettons : on laisse les îles de la Nouvelle-Calédonie former un pays, on rapatrie les Français blancs vers la métropole, et on ne s’occupe plus du reste.
Ce sera un nouvel Haïti, ils se tueront entre eux, la pauvreté puis la misère reprendront le dessus en quelques années. Et les gauchistes comme les canaques diront que c’est de notre faute, que c’est le traumatisme de la colonisation, l’impossibilité de se reconstruire en raison de cette tragédie historique, blablabla. Un siècle de pleurniche à prévoir.
Autant rester et garder nos positions à l’autre bout du monde, pour le même tarif.
Mais alors il faut assumer, assumer une chose dont les démocraties libérales ont honte et considèrent comme un tabou : la domination.
Les canaques ne vivront jamais aussi bien que sous notre emprise, mais il faut arrêter de gérer l’Outre-mer comme un papa timide qui ne sait pas éduquer ses mioches. Ces îles sont À NOUS, on les possède, on impose notre volonté, et si les Kirikous ne sont pas contents, on envoie la cavalerie et on lui laisse carte blanche pour “calmer” la situation.
Comme Macron l’a fait face aux gilets jaunes ou chaque fois qu’un groupe de droite met un orteil dehors.
C’est un rapport dominant/dominé classique, vieux comme la Terre, si les Blancs refusent de porter le dossard numéro 1, d’autres l’enfileront à leur place. Quand on est supérieur, on domine, point barre, c’est l’ordre naturel. Les gens pas contents, ils n’ont qu’à être plus performants, ce n’est pas notre problème.
SUR CE SUJET, LIRE GUERRE CIVILE RACIALE, DE GUILLAUME FAYE
