Tout le monde se souvient du débat que Soral a interrompu, alors qu’il m’affrontait, le mardi 6 décembre 2016, parce qu’il perdait pied face à des arguments simples et imparables que je lui envoyais au visage.
Je ne reviendrai pas sur les détails, et les gens retiennent de toute façon les choses les plus “pops”, oubliant tout le reste. Au-delà des “Bordel, j’ai le droit“, et des “Français qui en ont plein le cul des Arabes“, il y a eu une défaite, ce jour-là. Et c’est ce qu’on célèbre aujourd’hui. La défaite d’un intellectuel auto-proclamé imbattable qui a chuté au moment d’en découdre avec le premier adversaire digne de ce nom.
Ce court montage réalisé par un anonyme résume bien le décalage entre le discours de Soral et la réalité de son être : égoïste et mauvais joueur en toutes circonstances.
Souvenir politique de Daniel Conversano