Chef d’oeuvre à (re)découvrir – Death Note, Anime : une lutte entre le Bien… et une autre forme de Bien ?

N’étant pas spécialement amateur de mangas et d’animation, j’avais pourtant été scotché par le scénario de Death Note, que j’ai découvert quand j’étais jeune étudiant à la faculté de philosophie.

Je vous conseille en particulier l’animation, qui est courte et prenante (37 épisodes seulement). Vous la trouverez sur différents sites de téléchargement, sur Stremio (sorte de Netflix gratuit) et sur Netflix. Bien sûr, je ne vous invite pas à vous abonner à Netflix, mais si vous l’êtes déjà, vous y trouverez Death Note facilement.

Death Note, littéralement Carnet de la Mort, est un manga écrit par Tsugumi Oba et dessiné par Takeshi Obata. Il est prépublié dans le magazine “Weekly Shonen Jump” de décembre 2003 à mai 2006. La version française est éditée par Kana de janvier 2007 jusqu’à octobre 2008.

À la suite du succès du manga, une adaptation en anime de 37 épisodes est réalisée par Tetsuro Araki au sein du studio Madhouse ; elle est diffusée du 3 octobre 2006 au 26 juin 2007 sur Nippon Television, au Japon. En France, l’anime est diffusé à partir du 2 février 2008 sur MCM et de décembre 2008 sur Virgin 17. Souvenirs, souvenirs…

HISTOIRE

Light Yagami est un lycéen surdoué qui juge le monde criminel, pourri, corrompu. Sa vie change le jour où il ramasse par hasard un mystérieux cahier aux pouvoirs surnaturels, intitulé le « Death Note ». Son mode d’emploi indique que « la personne dont le nom est écrit dans ce cahier meurt ». D’abord incrédule, Light décide toutefois de tester le cahier et découvre que son pouvoir est réel. Il rencontre l’ancien propriétaire du Death Note, un dieu de la mort nommé Ryûk. Celui-ci déclare avoir volontairement laissé tomber son carnet dans le but de se divertir.

Light décide d’utiliser le Death Note pour exterminer les assassins et les délinquants, dans le but de bâtir un monde parfait. Il apprend peu à peu à se servir des pouvoirs du cahier et à comprendre ses règles : l’utilisateur ne peut tuer une personne que s’il connait son visage, en y inscrivant son prénom et son nom de famille. Il peut également en préciser la cause et les circonstances détaillées.

Les nombreuses morts inexpliquées de criminels à travers le monde attirent l’attention d’Interpol et du mystérieux L – un détective particulièrement talentueux mais dont personne ne connaît l’identité. L se décide à enquêter sur le tueur en série, surnommé « Kira », dérivé de la prononciation japonaise de « killer », par le grand public qui le soutien dans son action contre le mal. Mais Kira ne deviendra-t-il pas lui-même une figure invincible du Mal ?

Note : Pour vous donner envie de regarder la série, j’ajoute que les musiques qui la rythment sont de grande qualité. Exemple ici.

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