Suite à une proposition de la France (surprenant !), le projet vise à améliorer l’enseignement de l’Histoire en Europe, dans les écoles et les collèges. Enfin, améliorer n’est peut-être pas le mot…
Source : touteleurope.eu
Le mardi 26 novembre, 47 ministres de l’Education se sont réunis à Paris. Leur projet ? Créer un observatoire qui permettrait d’analyser l’enseignement de l’Histoire sur le continent. Et ainsi, de dégager des “pistes communes d’amélioration”. C’est lors de sa présidence du Conseil de l’Europe que la France a lancé le projet.
“Un état des lieux inquiétant” : pendant la présentation de ses travaux à la presse ce jour-là, Alain Lamassoure ne mâche pas ses mots. L’ancien député européen déplore les nombreuses différences d’un pays à l’autre en la matière. La discipline est par exemple facultative dans plusieurs d’entre eux. Aux Pays-Bas, elle n’est choisie que par un tiers des candidats à l’examen du bac.
Autre sujet de préoccupation, le contenu des cours proposés aux enfants. “L’Histoire qu’ils apprennent inciterait parfois à exacerber les tensions“, relève Amélie de Montchalin, secrétaire d’Etat aux Affaires européennes. Et M. Lamassoure de citer le cas d’une loi votée en 2018 au Parlement polonais “qui interdit d’attribuer des crimes nazis à la nation ou à l’Etat polonais… “. Eviter que les nouvelles générations ne deviennent “pour moitié nationaliste et pour moitié amnésique“, telle est ainsi la mission qui guide l’ancien député.
La réconciliation des peuples, vraiment ?
Cet observatoire “européen” permettrait de comparer les méthodes et les programmes en place dans les Etats membres. Il rendrait ainsi régulièrement des rapports afin que les pays s’entendent sur un socle commun d’enseignement. “On peut espérer que chacun s’inspirera de ce qui fonctionne le mieux chez les autres“, poursuit l’ancien député.
Mon commentaire : cet observatoire est un moyen supplémentaire d’uniformiser la pensée des peuples blancs, en les condamnant à se sentir encore plus coupables par rapport à leur passé, et en les invitant – si c’est possible – à encore plus de mollesse pour traiter les problématiques clés de l’avenir (par exemple, l’invasion de notre continent). C’est une catastrophe. La Chouina pour tous, bien sûr, est au centre de ce programme, qui doit pénétrer les jeunes esprits de l’Europe d’Ouest en Est.
Ils iront jusqu’au bout pour chercher à nous détruire. Faites des gosses et mettez leur les bonnes idées dans la tête !