Etats-Unis : Un enfant à haut QI de 14 ans se suicide par altruisme, pour donner ses organes à des malades…

NOTE : Je partage cet article pour rappeler que la cause européaniste que nous poursuivons donne à la vie le surplus de sens dont elle manque cruellement parfois. Restez sur cette terre et reproduisez-vous, mes frères blancs. Sans nous, le monde serait plus horrible encore

Hyper-intelligent, le jeune garçon était en avance sur tous ses compagnons. Après avoir conclu brillamment sa scolarité obligatoire, cet enfant surdoué avait commencé un cursus universitaire à 11 ans. Il y a deux semaines, ses parents l’ont retrouvé mort dans sa chambre.

A 18 mois, Brandenn Bremmer commença la lecture en épelant l’alphabet à sa mère. A l’âge de 3 ans, il passait déjà des heures à jouer du piano, dans la maison familiale, perdue au milieu des grandes plaines poussiéreuses du Nebraska. A 11 ans, il poussa pour la première fois les portes de l’Université de l’Etat du Colorado afin d’entamer des études en musicologie. Pourtant, la vie de ce génie américain s’est arrêtée brutalement. Les policiers ont retrouvé le cadavre de l’adolescent chez lui mardi 15 mars, une balle dans la tête, le pistolet encore chaud juste à côté du corps. Les inspecteurs ont très vite bouclé l’enquête. Ils ont conclu à un suicide. Brandenn Bremmer avait alors 14 ans. Il était promis à une carrière musicale foudroyante. Il venait de composer un second disque CD, inspiré par ses deux compositeurs préférés: Mozart et Beethoven.

Le génie et le développement précoce seraient-ils à l’origine de ce suicide? Ou s’agit-il là d’une mort liée à la détresse toujours plus grande des adolescents américains? Patti, sa mère, affirme que son fils se comportait comme les autres enfants de son âge. Malgré son hyper-intelligence et sa passion pour la musique, il allait souvent faire du camping, nager, pêcher, dévaler les larges avenues avec sa planche à roulettes, et comme tous ses amis de la petite ville de Venango, il passait de longues heures à jouer à la PlayStation. Et pourtant. Le témoignage de sa mère au correspondant du montre que Brandenn Bremmer n’était pas un adolescent tout à fait comme les autres. «C’était un enfant extralucide. Je crois qu’il s’est donné la mort afin de donner ses organes à d’autres enfants de son âge. Il adorait aider les autres et était très attiré par une vie spirituelle forte. Il disait souvent qu’il aimerait que les autres bénéficient des parties de son corps une fois qu’il ne serait plus de ce monde.» La nuit même de sa mort, ses vœux sont exaucés. On donne le foie à un enfant de 22 mois. Son cœur sauve la vie d’un petit garçon de 11 ans. Et deux autres patients bénéficient chacun d’un rein.

Brandenn Bremmer avait, selon ses proches, un comportement social totalement normal, mais son niveau d’intelligence était exceptionnel. A l’âge de 5 ans, ses parents intrigués par ses facultés mentales lui demandent de passer un test de QI. Le petit garçon obéit. Mais quelques étapes avant de conclure le test, il abandonne, lassé par les questions trop banales. Son résultat partiel est pourtant sidérant : 178 points de QI alors qu’une personne sur un million arrive au score de 180 ou plus. Cinq ans après ce test, il réussit l’équivalent américain de la maturité grâce à un programme par correspondance. Il devient ainsi le plus jeune Américain à avoir terminé avec succès l’école secondaire dans cet Etat planté au centre des Etats-Unis. Lors de la remise des diplômes, ce génie facétieux fit un discours qui marqua les esprits. A 10 ans, il entonna de sa voix fluette un discours brillant sur la condition humaine et le rôle de l’Amérique dans le monde. Un peu nerveux devant un parterre d’une centaine de personnes, il joua tout d’abord du piano pour se tranquilliser. Puis, une fois ses morceaux préférés terminés, il dit: «Nous avons une obligation. Si nous ne contribuons pas à la diffusion de la civilisation, tout le travail des générations antérieures aura été inutile et vain.»

Ce qui étonne le plus les parents, c’est qu’ils n’ont décelé aucun signe avant-coureur d’une dépression. Un jour avant qu’il ne retourne son arme contre lui, Brandenn Bremmer venait d’enregistrer une série de morceaux de piano qu’il avait composés, puis joués. «Nous lui avions alors dit : «Brandenn, tu es immortel maintenant. Tu vas vivre longtemps car une partie de ton âme restera toujours vivante dans la musique que tu as composée», explique Martin, son père.

Juste avant de se tirer une balle dans la tête, l’enfant prodige a mangé quelques ailes de poulet grillées au barbecue du jardin avec ses parents. Puis il est monté dans sa chambre pour vendre plusieurs jeux vidéo sur le site internet eBay. Patti et Martin Bremmer sont alors partis au supermarché pour faire les courses de la semaine. A leur retour, ils ont découvert le corps. C’était un mardi soir. «Il avait bon appétit, disent-ils dans le même quotidien régional du Nebraska. C’était un enfant joyeux.»

Brandenn Bremmer est parti trop tôt. Sa mère veut pourtant retrouver une partie de cette âme qu’elle a perdue avec précocité. Sachant que le cœur de son fils bat aujourd’hui dans le corps d’un autre garçon, Patti a déclaré dans un journal du Nebraska : «Je suis impatiente de poser la main sur le torse de cet enfant de 11 ans.»

Source

L’information date de 2005. Mais elle méritait selon moi d’être déterrée.

D.C, 17 août 2020

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