Le titre du nouveau livre de Renaud Camus est explosif et marque les esprits : La Destruction des Européens d’Europe.
Je le lirai, bien sûr.
Peu d’auteurs, de penseurs ou de politiques, utilisent des mots aussi clairs pour rendre compte de notre réalité. Le courage intellectuel de Camus est admirable.
Tweet récent de Renaud Camus, quant à l’utilisation du mot race :
« Laissons tomber les races, la race, c’est un mot trop clivant », c’est exactement le contraire de ma position. Ma conviction est que le tabou sur les races, le Dogme de l’inexistence des races, est exactement le pilier sur lequel repose en toute impunité l’actuel génocide par substitution des Européens. C’est cela qui les paralyse, cela qui empêche toute résistance de leur part à leur propre destruction, par la peur apparemment insurmontable d’être traités de “raciste”. Or les races, elles, se rient bien de l’interdiction dont elles sont l’objet. Elles n’ont jamais été si actives, si agissantes dans les affaires du monde et de la vie quotidienne, de la rue, des lycées, des quartiers, si déterminantes dans la formation des opinions et des ressentiments, que depuis qu’elles n’existent plus. Sans elles, tout devient inexplicable, et toute action pour rétablir la paix civile est vaine. Aujourd’hui c’est l’antiracisme qui est génocidaire, qui laisse se perpétrer en silence l’éradication des Européens et de leur civilisation. Il a emprunté au vieux racisme une conception pseudo-scientifique de la race, qui n’est pas sans quelque réalité scientifique, semble-t-il, mais infime au regard de tout le reste, la ductilité parfaite du concept de race, sa réalité littéraire, poétique, culturelle, religieuse, etc., dont la puissance herméneutique est sans pareille. Il faut donner un sens nouveau au mot racisme, un sens nouveau et très ancien, antérieure à la catastrophique parenthèse du racisme et de l’antiracisme “scientifiques”. Le racisme nouveau doit être l’amour des races, de toutes les races, et le désir de leur heureuse préservation à toutes, qui sont la diversité du monde. Il ne peut pas y avoir d’écologie antiraciste : ce serait une écologie qui voudrait une seule sorte de chiens, une seule sorte de chats, une seule sorte de salade, une seule sorte de chênes, une seule sorte de laurier, une seule sorte de tout. Il y a une seule espèce humaine, mais il y autant de races qu’il y a d’ancêtres, de mythes, de récits fondateurs et d’épaisseur de temps. Il n’y a que le racisme qui défende la diversité du monde. Et il n’y a que la race, ce mélange de culture, de civilisation, d’atavisme, de religion, de corpus de convictions et de passions, qui explique ce que le Bloc Génocidaire antiraciste et sa grande Presse Égout central nous présentent quotidiennement comme une inexplicable série de faits divers, vols, viols, égorgements, coups de couteau, chaos dans les écoles et dans les hôpitaux, etc. Sans les races, tout n’est qu’hébétude impuissante, organisée pour la gestion génocidaire du parc humain par le remplacisme global davocratique, la Machination de l’espèce.