Lucien Cerise m’attaque mollement dans un entretien donné à Breizh Info – Mon commentaire amusé (et amusant) – Daniel Conversano

Les plus jeunes lecteurs de ce blog ne connaissent sans doute pas Lucien Cerise et ils ont bien de la chance. Mais j’ai décidé de partager ma douleur en vous en parlant. Dans un article publié sur Breizh Info (rédaction envers laquelle je n’ai rien, ils m’ont déjà donné la parole d’ailleurs), Lucien Cerise me critique dans une bouillie argumentative dont lui seul a le secret.

Cerise – évidemment un pseudo – est un penseur de gauche patriote édité par Kontre Kulture depuis plusieurs années. Son dernier livre est sorti chez Culture & Racines, et si je n’ai aucun grief contre cette maison, je me permets de répondre à une attaque quand je suis attaqué, je crois qu’ils le comprendront.
Laissez-moi vous résumer le style littéraire de Lucien brièvement : si vous voulez avoir la plus grosse migraine de votre vie, achetez un de ses livres et lisez-le avant de dormir. Vous avez déjà essayé de lire du Pierre Bourdieu sans devenir fou ? C’est la même soupe. Enchaînement à gogo de mots compliqués dont le sens n’est jamais clair, et d’hypothèses abracadabrantes posées comme des prédicats indiscutables. Une insulte à la logique grecque de chaque instant.

J’ai connu Lucien comme camarades de collage pour le Front National, dans les années 2014/2015 à Paris. Sympathique autour d’un café, émouvant de timidité, physiquement maladroit, je ne pouvais m’empêcher de sourire lorsqu’il s’essayait à la théorie politique entre camarades.
Lucien, je vais t’expliquer quelque chose : la raison pour laquelle tu as été obligé de SUCER Alain Soral en fond de gorge tant d’années, c’est que tu es assez lucide pour savoir que tu ne pourrais exister hors du réseau E.R et ses alliés. Un vrai homme de droite ne te donnerait jamais une tribune.
Soral t’a accepté près de lui et te laisse croire que tu es un homme qui pense parce que tu ne lui feras jamais de l’ombre. C’est sa tactique depuis toujours : s’entourer de gens médiocres qui attirent un public débile auquel il est facile de présenter des faiseurs de préface à la Cerise – lui qui ne sait pas faire une phrase claire : sujet/verbe/complément – comme un sage de première catégorie.

Comme tous les plumitifs de gauche qui se prennent pour la réincarnation de Michel Foucault, le plus condamnable dans ton phrasé indigeste que tu étires douloureusement jusqu’à en faire des livres, c’est que tu as cette étrange manie de n’aller nulle part. Il y a critique, re-critique et critique de la critique, et à la fin de cette diarrhée qu’on aurait tort de confondre avec une analyse, il n’y a jamais de conclusion. Faut-il voter Zemmour ? Marine ? Le racisme c’est bien, c’est mal ? Quel est l’ennemi ? On peut le nommer ou quoi ? Prout !
Non. Pour les étrons à lunettes comme toi au cerveau comprimé par des concepts marxistes et des références culturelles de la gauche sociologique qui est, je l’affirme, le pire cancer du monde occidental, DIRE UNE CHOSE SIMPLE, c’est être un beauf de la pensée.
Moi je ne suis pas de cette école. De Céline à Léonard de Vinci, en passant par Saint-Exupéry et Aristote, la simplicité a toujours été la valeur suprême des véritables hauts QI et grands génies de l’Histoire.

En parcourant ton livre “neuro-pirates” il y a quelques années (n’ayez pas peur du termes neuro-pirates, en gros ça veut dire “propagande du système” mais comme ça ne sonnait pas assez intello, Lucien Groseille a voulu épater la galerie), en plus de cette migraine affreuse dont j’ai déjà parlé, je ne pouvais m’empêcher de rire à chaque fin de paragraphe. Quoi de plus RIDICULE qu’un QI moyen s’essayant à la philosophie dans des longues démonstrations qui cachent leur absence de forces et de rationalité sous une tonne de verbiage qui pue le Durkheim crevé ?

Pour le nouveau bouquin, c’est pareil, un titre aguicheur pour changer : LE SUPREMACISME BLANC. Là, tu m’as presque donné envie de l’acheter mon salaud, je me suis dit, le mec est POUR, enfin une position courageuse ! Adolf en couverture, ça marche toujours aussi… Mais non. L’idée est d’y expliquer que les hitlériens n’ont rien compris à Hitler, que le racisme n’est pas le racisme, enfin ça, ou peut-être le contraire. J’aime bien le sous-titre aussi, “Peuples autochtones et Great Reset”. Tu sens que tu vas te bouffer une salade au jambon et au chocolat avec du coulis de crevette pour bien achever le dégueulis. Chez les intellos de gauche, la bouffe conceptuelle, c’est de l’art contemporain. Imaginez le goût d’un magret de pingouin et vous aurez encore une idée trop vague de l’horreur que ça produira dans votre esprit.

On a encore un bel exemple de “Cerisianisme” mental avec cette attaque molle contre moi et la galaxie Conversano, si l’on peut dire :

Vous apprendrez donc à travers ces morceaux choisis publié en bas de mon pamphlet, et l’ensemble de l’article par ailleurs, que Lucien Cerise défend une conception réfléchie de la conscience raciale blanche (gonflé quand on est dans un mouvement comme E.R qui a chié sur les identitaires depuis le début) pour ensuite attaquer les vrais racialistes affichés comme moi, Guillaume Faye, Jared Taylor, et appeler en pointillé à l’union des immigrés et des prolétaires français contre la dictature sanitaire, qui est un eugénisme d’Etat conséquence – élémentaire mon cher Watson – de la soumission au Grand Capital.
Waouh ! Le grand frisson. Démerdez-vous avec ça pour faire la révolution.

Je ne sais pas ce qui est le pire avec les années Soral.
– Avoir créé une armée de maghrébins arrogants qui crient au “sionisme” comme excuse à leur comportement déviant et criminel.
– Permettre à des profs de gauche de rêver à un destin de philosophe en les publiant et en leur organisant des conférences qui les valorisent.
Dans tous les domaines, il aura vraiment produit du caca.

Daniel Conversano

Morceaux choisis de l’attaque de Lucien Cerise contre moi :

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