Les constatations empiriques qui vont suivre sont exactement ce que je dis qu’elles sont, rien de plus, rien de moins : des constatations empiriques dont vous ne saisirez pas forcément le sens profond, et qui pourtant, se vérifient chaque jour quand on est confronté à l’enfer, c’est-à-dire aux autres. Bon, cette dernière phrase, c’était seulement pour vous faire marrer. Je suis philanthrope, j’aime les gens. Mais pour les aimer, il faut d’abord les comprendre.
En vérité, je vous le dis…
1/ Ne rien faire fatigue. Bizarre, n’est-ce pas ? Pourtant c’est vrai, prouvé, je dirais même éprouvé physiquement 100 fois ! Restez dans votre lit la journée, en regardant des séries et en traînant sur internet, pendant une semaine. Vous verrez que vous vous sentirez fatigué du matin au soir au bout de 48h. Pour avoir de l’énergie, il faut en consommer ! Solution contre-intuitive, mais qui fonctionne à tous les coups.
2/ Rendre des services à une même personne sans rien demander en retour vous fera passer pour un imbécile. Et ces mêmes personnes que vous avez aidés de bon coeur penseront en eux-mêmes que vous n’êtes qu’un(e) imbécile, et vous traiteront comme tel à force de vous fréquenter. Vous, bien sûr, vous vous mettez au service des autres naturellement, sans arrière pensée, vous aimez simplement rendre les gens heureux et vous ne cherchez pas de gratitude particulière. Eh bien vous obtiendrez pourtant quelque chose. Et ce que vous obtiendrez, c’est de l’ingratitude et même de la méchanceté ciblée précisément parce que vous êtes gentils. L’amitié, comme l’amour, doit être bilatérale. Si vous rendez des services à des gens qui eux, ne le font jamais, vous perdez votre temps sans rien construire de solide humainement. Arrêtez.
3/ Plus de 90% des femmes aiment être dominées au lit. Oubliez l’imagerie BDSM et prenez le mot dans son sens général. Elles aiment les hommes entreprenants, décidés, qui choisissent la position sexuelle, qui vont et viennent fort, jouissent fort, qui disent ce qu’ils veulent obtenir, les mecs un peu égoïstes dans leur manière de prendre du plaisir, etc. La femme aime être l’instrument du plaisir masculin, et c’est souvent comme ça qu’elle en prend, du plaisir. Quand vous êtes trop cons pour le comprendre et que la fille vous aime bien, il arrive qu’elle le formule avec ses mots de femme (“tu peux y aller plus fort, tu sais ?“, “Si tu me tires les cheveux, ça me dérange pas“). Hors du secret de l’alcôve, en revanche, elles aiment plutôt les relations égalitaires. Le comportement idéal c’est : être tendre, bienveillant dans la vie publique, être ferme et même un peu – je dis bien un peu – salaud au plumard. Ne me croyez pas sur parole, faites quelques tests, et vous verrez bien.
4/ C’est dans les soirées de gauchistes que vous trouverez le moins de non-Blancs. Vous avez moins de “chances” de croiser des Africains dans un brunch suivant une expo d’art contemporain, ou lors d’une soirée à la fac style “Cinéma de minuit” avec des étudiants en socio/lettres, que dans n’importe quelle conférence de droite souverainiste. Dans les soirées gauchiasses, quand vous croisez des non-Blancs, ils sont en général inoffensifs, plutôt en retrait, n’intervenant que très peu sur les sujets politiques. Mettons, le gars s’appelle Yannick, son père est blanc, sa mère martiniquaise, il a des dreadlocks et veut devenir jongleur professionnel/monter un groupe de Reggea… Il est là pour baiser, pas pour vous les casser sur “l’identité française” ou les prochaines élections. Dans ces soirées, il n’y a pratiquement jamais d’Arabes, ce qui rend l’ambiance géniale (les Arabes sont les casseurs d’ambiance numéro 1, ils traînent leur frustration de musulmans schizos partout où ils vont). La soirée gauchiste, c’est l’idéal pour trouver des partenaires sexuelles quand on est jeune. Les filles de droite style Jeunesses Lesquenistes sacralisent leur chatte – qu’elles réservent en général à un mec friqué avec un boulot stable et/ou du patrimoine, donc pas vous – et vous vous épuiserez à essayer de les avoir ; même si vous y parvenez, vous aurez droit pendant la bagatelle à un stupéfiant manque de générosité (divinisation de leur corps comme je disais, réfractaires à la moitié des pratiques agréables, bref, on se fait chier). La gauchiste se donne davantage quand elle fait l’amour, et après tout, elle est blanche, donc pourquoi passer à côté de ce bonheur ? ATTENTION : mettez des capotes avec les gauchistes, certaines couchent avec des migrants qui ont ramené de leur jungle des maladies du Jurassique. Tests nécessaires avant de s’amuser en mode “nature” avec ces timbrées. J’ai des copains qui ont chopé des saloperies. Moi j’ai eu du bol, on va dire. On parle ici de se déniaiser, pas de trouver une femme pour la vie.
5/ Conseil aux femmes : les hommes timides ne sont pas nécessairement les plus fidèles. La plupart des hommes sont naturellement portés vers l’infidélité, non par scélératesse ou désamour pour vous, mais par un instinct de piner qu’il serait difficile de vous décrire (il faut avoir un pénis pour comprendre). Un homme timide a peu d’occasions de conclure, et donc de connaître la femme fatale et ses stratégies de séduction, lorsque la femme en question est “intéressée”. J’ai vu des dizaines de fois des timides arrivant à la trentaine – et que la situation professionnelle, le statut social rendaient désirables pour des femmes rencontrées en soirée – ne pas être capables de résister plus de 8 secondes à leurs flatteries de coquines futées. Le lendemain, vos timides chéris rentrent chez vous, et vous ne les soupçonnez pas, parce qu’avec leur petite gueule de timides, vous leur avez donné le bon dieu sans confession depuis 10 ans. Mon but n’est pas de vous rendre paranos, mais de corriger une idée reçue qui est parfaitement fausse : les timides n’osent pas/ne savent pas draguer, mais ils résistent encore moins aux assauts féminins que les Casanova qui ont de l’expérience, et qui savent dire NON quand ils veulent dire NON. Les hommes à femmes gèrent leurs tromperies et savent éliminer rapidement les profils à risques (les salopes qui iront tout répéter à l’épouse juste pour niquer votre famille). Si j’étais une femme, je ne choisirais pas un timide, et surtout pas un timide qui gagne un peu trop d’argent, car il aura des opportunités un jour ou l’autre. Vous voyez le genre, le notable de province avec la tronche de François Hollande, et qui a sa carte premium GOLD au bar américain du coin. Les timides sont souvent des p’tits vicieux qui n’assument pas d’être des hommes comme les autres. Pas toujours, hein, mais faut bien faire des généralités pour produire des analyses.
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