Le 1er ministre slovène a apporté son soutien à la Hongrie et à la Pologne dans le bras-de-fer qui les oppose à l’U.E., dénonçant à son tour le mécanisme liant le versement des fonds, au respect de l’État de droit – ce qui impliquerait pour ces pays une soumission au politiquement correct occidental.
« Seule une instance judiciaire indépendante peut dire ce qu’est l’État de droit, pas une majorité politique » a écrit Janez Jansa dans une lettre adressée le 17 novembre au président du Conseil européen, Charles Michel, et consultée mercredi par l’AFP.
Source : Le Figaro