Rêves – 5 trucs classes mais inutiles que j’aimerais faire un jour – Blog

Sans ordre de préférence, voici les 5 rêves futiles qui reviennent souvent dans ma tête avant de dormir. Les faire aboutir n’apporterait pas grand chose à ma vie, et il est probable que je ne les réalise jamais. Mais je les partage avec vous par amitié, et parce que rêver fait du bien à l’âme.

1. Découvrir mon arbre généalogique

C’est banal et nous sommes nombreux à vouloir connaître le prénom/nom, la vie, le rang de nos ancêtres. Je ne pense pas que ça changerait quelque chose d’essentiel dans mon existence – quoi que je découvre en cherchant bien – mais je suis vraiment curieux de savoir ce que les Conversano et les Didier (nom de ma mère) faisaient de beau en 1700, en 1800… Pas vous ?

2. Voir la finale de Wimbledon sur place

Si possible, tant que Roger Federer continue de jouer et qu’il a une chance d’y accéder. Voir Federer taper la balle sur gazon… il est peut-être déjà trop tard pour assister à ce spectacle grandiose… mais d’autres génies du tennis apparaîtront dans les décennies à venir. J’irai les voir. Ce rêve est sans doute le plus simple de la liste à réaliser.

3. Apprendre le japonais

Le japonais ne me servirait pas au quotidien, et je ne suis pas particulièrement obsédé par la culture japonaise, comme c’est le cas chez de nombreux nationalistes français. Cela dit, j’aime la langue japonaise, ce mélange de truculence et de douceur étrange qui la caractérise. Je trouve que parler un japonais parfait quand on est Européen a quelque chose de fantaisiste et séduisant à la fois. Ferai-je cet effort complètement inutile un jour ? Rien n’est moins sûr !

4. Longer la côte d’Azur et la Riviera italienne avec mon fils, quand il aura 18 ans… en Porsche

Pourquoi ? Parfois il n’y a pas de pourquoi, seulement des “Parce que”. Je m’imagine au volant d’un ancien modèle Porsche, avec mon fils devenu grand. On passerait 2 mois de vacances ensemble au départ de Saint-Tropez et peut-être jusqu’à Rome, en longeant la mer. Je lui parlerais des femmes, de l’amour, de la famille et du sens de la vie quand on est adulte. On prendrait le temps de mieux se connaître, de se parler entre hommes pour la première fois. J’ignore pourquoi, mais je me vois faire ça dans une vieille Porsche, qu’on pourrait louer pour l’occasion.

5. Prendre le Transsibérien et au retour, m’arrêter à Novossibirsk, capitale de la Sibérie

Le genre de choses qu’il fallait faire avant d’avoir des gosses, sans doute, car ça demande du temps. J’aimerais plus que tout prendre le transsibérien pour faire l’expérience de ce voyage interminable, chargé d’Histoire et de rêves. Puis, j’attendrai l’hiver pour aller jusqu’à Novossibirsk, dont le nom m’a toujours un peu ému. Je veux connaître l’hiver sibérien une fois, j’ai ça en tête depuis que j’ai 15 ans. Là encore, pas de pourquoi.


J’espère vous avoir aussi fait rêver avec ce petit article sans prétention. Bon week-end les amis !

23 octobre 2021,

Daniel Conversano

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