Il est reproché à Andrej Babiš, premier ministre de la Tchèquie, ses propos sur l’immigration tenus il y a quelques jours : « Je ne vais pas parler d’immigration. Nous avons refusé de négocier sur cette question en 2018 et nous n’allons pas céder aujourd’hui. Un point, c’est tout. L’immigration illégale est inacceptable et c’est la même chose concernant l’idée de réactiver les quotas et la tentative de répartition des réfugiés à travers l’Europe. »
Depuis qu’il est au pouvoir, Andrej Babiš, milliardaire qui prône une approche entrepreneuriale de la politique (comme Donald Trump), fait face à des oppositions violentes de la part de la gauche tiers-mondiste. Il est notamment la cible des ONG liées à George Soros, le cosmopolite acharné.
L’ONG Transparency International (TI) a appelé à la démission de Babiš. Ce dernier aurait détourné des subventions, et le rapport de la Commission européenne serait accablant à ce titre. Pourtant, une enquête récente avait permis au parquet de Prague de lever tout soupçon sur le Premier ministre dans l’affaire des subventions agricoles.
Parmi les donateurs de l’ONG Transparency International, on retrouve le Ministère français de l’Europe et des Affaires étrangères, mais également l’Open Society Foundation de George Soros (tiens, étonnant !). Lequel a financé de nombreuses “révolutions démocratiques” à travers le monde, et s’insurge contre la politique anti-immigration pratiquée par les pays d’Europe centrale (Tchéquie, Pologne, Slovaquie, Hongrie en particulier).