Ce texte a été écrit par Anatoly LIVRY, dont nous éditons l’ouvrage Bergman et le national-socialisme hitlérien
Un des indices flagrants de la mort d’une civilisation, c’est le remplacement du mâle par la femelle – décadence et esprit morbide hystérique qui s’emparent du bien public.
Ce bref texte à visée philosophique s’apparente à un message direct aux pouvoirs de l’Europe orientale : « Ne financez pas le parti pseudo-nationaliste managé par Marine Le Pen comme une ligne de lingerie ». En français mais également en russe , avant même les élections présidentielles de 2017, j’avais clamé : « Plus un sous pour les fausses résistantes échappées du gynécée ! ». L’on n’avait pas prêté oreille à ma virile prophétie et la banque fortement attachée à un État de l’Est ne parvient toujours pas à récupérer les millions d’euros injectés dans ces loseurs incultes. Et je disais que même si l’on avait considéré que la fille Le Pen avait suffisamment rampé devant les oligarques et craché sur son père pour reprendre les rênes de cette idiocratie féministe qu’est devenue la république française, la première chose qu’elle aurait fait serait de trahir ses bienfaiteurs du Kremlin et de mener une politique otanesque et russophobe. Car la russophobie est l’une des manifestations privilégiées du racisme anti-Blancs, les apparatchiks occidentaux voyant dans les débris du patriarcat russe ce mâle blanc qu’ils vomissent chez eux, instinctivement et de manière suicidaire.
Était-ce une faute de la part de Jean-Marie Le Pen d’espérer naïvement que transmettre le parti à une Le Pen femelle pouvait adoucir la Gueuse pratiquant le génocide de ses enfants ? Oui, le vieux Jean-Marie a indiscutablement commis une erreur stratégique, l’actuelle tyrannie hexagonale n’ayant rien à avoir avec une monarchie héréditaire de droit divin ! Quant aux ogres systémiques, ils pousseront les deux arrivistes Le Pen, qui à la fois courtisent les Russes et dénigrent le nonagénaire patriarche pour mieux l’éjecter du parti et renier le nom de famille qu’il leur a légué, jusqu’à ce qu’elles se corrompent dans une souillure politique extrême au tréfonds de laquelle elles entraîneront les Français naïvement optimistes et abrutis par leur Université, ce temple trotskiste du plagiat . Cette forme de république française n’a pas d’espoir et les Le Pen qui s’offrent pour la guider actuellement ne feront que rejouer l’Assemblée des femmes aristophanienne à la mode du XXIe siècle.
Voici donc en guise de conclusion le message que je lance de nouveau, quelques mois avant les élections présidentielles en France, et qui sera sans nul doute publié en plusieurs langues : « Gouvernements traditionnels de l’Est, changez de stratégie face aux Le Pen et n’investissez plus un seul rouble dans cette satire de mauvais goût dont vous sortirez électoralement perdants – ou trahis ! »
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