Anatoly Livry – L’expatriation comme moyen de lutte anti-systémique

France du racisme anti-Blancs, France du génocide des Français, France de l’acharnement contre les traditions européennes : ce pays est-il encore un État où un Français peut vivre dignement ? Ou les responsables de mouvements nationalistes devraient-ils plutôt songer à s’expatrier vers des États de l’Europe centrale et orientale en vue d’y refonder des centres de lutte et de collecte d’informations contre le multiculturalisme globaliste qui dévore, tel un cancer métastasé, leur patrie ?

Les Français, par dizaines puis par centaines de milliers, devraient-ils rejoindre ces centres de lutte anti-républicaine implantés par exemple à Budapest en vue d’appuyer le travail de lobbying mené auprès du gouvernement patriote local et demander l’asile politique en Hongrie en mettant à profit la très anachronique convention relative au statut des réfugiés de 1951 ?

Imaginez-vous le déshonneur que cela serait pour les bien-pensants de Paris ou de Bruxelles qui utilisent normalement le statut de réfugié politique pour submerger les peuples de l’Europe par des allochtones africains si l’exigence de « remplir ses quotas de réfugiés » qu’ils imposent à la Hongrie serait satisfaite par des Français de souche venant y éduquer leurs enfants et y faire fructifier leurs aptitudes exceptionnelles au travail, en ajoutant un peu plus à l’infamie des ethnocidaires des gouvernements cosmopolites francophones. Voici quelques-unes des questions posées dans le cadre de cet entretien qui ne sera certainement pas le seul où je me permettrai, durant les mois à venir, des conseils tactiques quant au combat à mener contre cette république ethnocidaire :

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