C’est une victoire pour l’Europe et les peuples qui veulent survivre au mondialisme, à la globalisation, au multi-racialisme, au melting-pot. La résistance paye quand la volonté de sauver sa civilisation et son peuple est là. Les grecs des îles de la mer Egée se sont révoltés contre la décision du gouvernement d’Athènes de construire de nouveaux centre d’accueil sur leurs îles déjà passablement saturées et envahies par les clandestins. Les manifestants de Lesbos ont fait fuir des renforts de la police anti-émeute envoyés pour les faire taire.
Au-delà de cette reculade de la police, cette affaire traduit à quel point d’exaspération en sont arrivées les populations confrontées quotidiennement au problème migratoire et à l’invasion de leur villes et campagnes. Elle traduit aussi toute la lâcheté et trahison des oligarques au pouvoir, en Grèce et partout en Europe : au lieu d’envoyer la police anti-émeute empêcher les migrants de débarquer clandestinement, c’est contre son propre peuple que le gouvernement grec a lancé ses projectiles.
Tout cela est si semblable, en résumé, au comportement du gouvernement de Macron envoyant la police frapper et éborgner le petit peuple de France. Les politiciens mondialistes, si altruistes envers les étrangers, traitent leur propre peuple avec haine et despotisme, telle est la triste conclusion.