Après des mois de stagnation relative, la tension monte à nouveau très fortement en Ukraine, suite à l’explosion du pont de Crimée, et les frappes russes qui ont suivies sur tout le territoire ukrainien.
Lundi après-midi, 10 octobre, les autorités locales avaient dénombré 10 morts et 60 blessés.
La réponse internationale a été rapide. Le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, a parlé d' »escalade inacceptable de la guerre », et la ministre française des Affaires étrangères, Catherine Colonna, de « crimes de guerre ».
Alexandre Loukachenko, comme on pouvait s’y attendre, s’est rangé du côté de la Russie. Le président biélorusse a décidé d’envoyer des forces conjointes en Ukraine. Selon lui, l’Ukraine, la Pologne et la Lituanie prépareraient des attaques contre son pays. Il n’a présenté aucune preuve pour justifier ses inquiétudes.