- Un texte que j’ai publié ce matin sur TELEGRAM
Les images de l’invasion des côtes italiennes me donnent physiquement la nausée.
J’ai l’impression de nuire à l’avenir de mes enfants, en regardant médusé, impuissant, nos pays se remplir de Noirs à un rythme fou.
Jean Raspail avait eu la bonne intuition dans les années 70, tout se passe comme dans Le Camp des Saints, parfois à la virgule près (si ce n’est l’origine des clandestins : dans son roman, ils venaient d’Inde).
Raspail avait compris que les Européens n’auraient pas le courage de faire le nécessaire.
Le nécessaire, quand 30 bateaux arrivent en même temps, est devenu impensable dans l’esprit des occidentaux.
6 000 personnes qui arrivent en même temps, c’est une attaque de notre civilisation. La démarche en elle-même est hostile. Je ne veux rien savoir. Les problèmes des Africains ne sont pas les nôtres.
Les vraies solutions face à ce raz-de marée sont coercitives. Des gouvernants normaux dissuaderaient les prochains navires de débarquer en employant des méthodes que nos dirigeants excluent a priori.
Tout me rend malade. L’inaction de Meloni. Les belles phrases de Bruxelles qui ne concernent que l’accueil des nouveaux arrivants, comme si cet accueil était inexorable. La presse : un hamburger d’ordures dont je ne sauverai presque rien. Et tant d’autres choses révoltantes…
Rappelez-vous de ma vidéo sur l’Arabie saoudite et sa gestion des migrants : https://www.youtube.com/watch?v=fwYD9K710WI
Si l’Arabie saoudite se permet de faire ça, nous pouvons en faire le tiers, au moins, pour protéger notre continent.
Les actions isolées ne servent à rien et seront manipulées par les médias qui les feront passer pour des crimes.
Mais votre engagement est vital.
Adhésion à un parti d’opposition, militantisme, réinformation, soutien (bénévole, virtuel, financier, etc), communautarisme, mise en sécurité des vôtres autant que faire se peut… c’est le minimum.
Essayons, jusqu’au bout. Qu’on puisse se regarder dans une glace sans honte, au soir de nos vies.
2. On en reparlera, pour mon retour en direct, dès ce soir :
Des actualités désastreuses. On en parle ensemble, mes chers amis, ce soir, jeudi 14 septembre, à 18h30, heure française.