Macron : le génocide planifié de l’Europe blanche – Analyse du docteur Anatoly livry

Lorsque Macron a été élu suite à une vague d’attentats commis par des ressortissants d’Afrique ou par leurs descendants nés en Europe, j’avais tout de suite déclaré par écrit – et cela en français, en allemand, en russe et en anglais – que le but des organisateurs de ces tueries de masse était atteint. Et que, dès lors que Macron jouirait d’un pouvoir stable, plus aucun assassinat lors d’attroupements de Français ne serait plus commis. En revanche, dès que la malfaisance de ceux qui ont installé Macron au pouvoir ne pourrait plus être pleinement exercée, l’on ressortirait immédiatement ces meurtriers que l’on avait importés d’Afrique ou d’Asie […]

Encore le 18 novembre dernier, je répétais ma conviction quant à la criminalité du régime républicain qui massacrerait les Français afin de maintenir la population dans la terreur : « Désormais, telle est ma supposition, tout attentat en France devrait cesser car inutile : les services spéciaux n’auront qu’à remettre leur muselière à ceux qu’ils avaient volontairement laissé agir contre la population française. Si je me trompe dans cette prévision, rien ne pourra empêcher, dans les mois à venir, une nouvelle attaque terroriste en France. Si j’ai raison, tant que l’oligarchie cosmopolite détiendra un pouvoir stable via sa marionnette Macron, plus aucun terroriste n’y commettra de « massacre de masse » au nom d’Allah. Excepté si le pouvoir despotique de Macron se met à chanceler : là, tout de suite, la bête allogène sera remise en guerre. »

        Le cirque du mouvement des « Gilets jaunes » a commencé à être trop gênant. Mais surtout, le brouhaha des « Gilets jaunes » devenait inutile à ce système auquel il avait permis, bien malgré lui, de déployer un voile de fumée nécessaire à la signature du « Pacte de Marrakech » sur l'invasion du monde blanc par des ressortissants de l'Afrique et de l'Asie jusqu'au Pakistan. Le système avait provoqué cette chienlit des « Gilets jaunes » qui a pleinement occupé les grands médias. Il suffisait ensuite de rendre publiquement une part de ce que l'on avait volé au peuple de France, puis, après la signature du « Pacte de Marrakech » sur l'invasion du monde blanc, de conclure le drame par un acte terroriste exécuté dans les règles s'appliquant à tous les carnages terroristes perpétrés entre 2012 et 2017 : un « bon Français », cette chance pour la France comme il y en a des milliers (« un Alsacien d’Alsace » comme le dit le député de Macron), qui parcourait la France, la Suisse et l'Allemagne pour piller ces pays, devient soudain « fou » et commence par abattre des civils sur la place du marché au cri de « Allah Akbar ! », puis disparaît (aujourd'hui, le 12 décembre 2018, l'on dit « en Allemagne » sans se poser de questions sur l'utilité de la convention de Schengen) ... Pourtant, jamais ceux qui ont importé des millions d'allogènes en France ne s'interrogent sur le crime contre l'humanité qu'ils avaient commis durant des décennies en pratiquant le métissage tout en abrutissant les Européens avec leur prétendu « anti-racisme ».

Qu'est-ce qui m'avait permis cette hypothèse sur l'utilisation du terrorisme par le système français ? Tout d'abord, durant plus de 12 ans, j'ai travaillé dans les archives de l'Europe occidentale pour parfaire ma thèse de doctorat sur Nietzsche et Nabokov soutenue en 2011 dans l'université où j'enseignais, à savoir Nice-Sophia Antipolis, avec le professeur Patrick Quillier qui rêve de devenir membre de l'Institut de France). Par ailleurs, à l’École des Hautes Études en Sciences Sociales (EHESS, Paris), j'ai soutenu un diplôme d’études approfondies (DEA), actuel Master II, en histoire des sections juives du parti socialiste russe (puis bolchevique) avec Wladimir Berelowitch.

C’est donc dans les sources acceptées par les historiens domestiqués avec succès par la tyrannie occidentale que j’ai analysé cette tactique de manipulation des terroristes dressés par les gouvernants des victimes lorsque, par exemple, l’on fabrique des nihilistes russes avec l’or de la City, qu’on les incite à semer une terreur sanglante dans l’empire des Romanov et à injecter du ressentiment dans les peuples d’Eurasie pour, une fois le pouvoir pris (soit en ayant légalisé la terreur et le nihilisme), que les anciens admirateurs du terrorisme déclarent eux-mêmes le terrorisme « criminel » et se mettent à pourchasser ses anciennes marionnettes (ex. les Bolcheviks après le putsch d’octobre 1917 exécutant les anarchistes). La terreur n’est donc nullement l’arme des faibles, contrairement à la version officielle. C’est une manivelle pour les tout-puissants.

Quant au régime actuel français, c'est une corruption incarnée depuis des décennies et je peux le contempler et l'examiner à distance, depuis la Suisse alémanique : chaque année, j'entre en relation avec cette putréfaction administrative républicaine via la procédure de qualification du Conseil national des universités <françaises> (CNU), cette procédure « républicaine » qui coûte environ 20 millions d'euros par an et qui me manifeste une forfaiture sans limite : « Nos fonctionnaires – vos ennemis personnels – sont au pouvoir et siègent dans les commissions devant lesquelles vous passez, ils peuvent donc faire tout ce qu'ils veulent. Libre à vous de nous attaquer devant la Cour Européenne des Droits de l'Homme » (ce que j'ai fait). C'est ainsi qu'agit la Gueuse numéro 5 avec ses dissidents, tout en libérant des terroristes potentiels : la garde des sceaux Nicole Belloubet nommée par Macron ne déclarait-elle pas deux heures avant l'attentat de Strasbourg qu'elle ne prendrait pas de sanction contre le magistrat qui avait par erreur libéré un djihadiste dangereux Oualid B (François Koch, « Djihadiste libéré: la ministre passe l'éponge », L'Express, Paris, le 11 décembre 2018) ?

On a donc organisé cette intoxication doctrinale aussi simple qu’un problème d’échecs à trois coups :

  • Enlever quelques miettes aux Français, victimes de l’usure des banquiers depuis 1973.
  • Déclencher le mouvement des « Gilets jaunes », le promouvoir médiatiquement tout en le subvertissant de l’intérieur, ce qui a permis une signature en toute discrétion du « Pacte de Marrakech » sur l’invasion de l’Europe et le futur métissage des blancs.
  • Puis, on termine par l’assassinat de masse à Strasbourg perpétré par l’un des nombreux fichés « S » islamistes, ce qui fait quasi oublier à la foule illettrée fabriquée par l’Université française ce « Pacte de Marrakech ».
En 1999, on a fait accepter aux Français écervelés par l'Université française un autre pacte qui reconnaissait l'existence civique de l'union des homosexuels et de tribades. À cette époque, les magouilleurs disaient que c'était seulement pour encadrer par le droit une réalité existante. Que jamais les « homosexuels » ne pourraient se marier. Que jamais ils n'auraient le droit d'adopter – cette question ne serait même pas soulevée ! Les Français abrutis par l'Université dite « française » ont naturellement tout gobé. Or, à peine 13 ans plus tard, le « mariage pour tous » a été proclamé ! En revanche, entre 1999 et 2013, ce pacte – tout innocent, bien sûr ! – a permis la sape psychique des Français : les « éducateurs » ont normalisé dans le cadre civique l'ensemble des déviances sexuelles. Le corpus législatif a suivi : si au moment du PACS en 1999, on pouvait encore parler de « pratiques sexuelles contre-nature » ou de « mariages d'invertis », à peine une dizaine d'années plus tard, ces expressions non seulement menaient ceux qui les prononçaient devant les tribunaux, mais surtout mettaient ces esprits libres en marge de la société française, les faisant chasser des facultés, des rédactions, des partis politiques, etc. Le « Pacte de Marrakech » poursuit un but identique : déposséder les Européens de leur esprit critique face à leur effacement en tant qu'ethnies blanches : dans quelques années, le simple fait de supposer publiquement qu'il y a des peuples d'Europe, que des allogènes ne peuvent pas s'installer en masse sur le vieux Continent et qu'il y a une religion antique des peuples européens ... fera condamner ceux qui sont à l'origine de ces idées traditionnelles à des peines de prison plus lourdes que les violeurs ou les assassins. Le « Pacte de Marrakech » a été signé et commence également la subversion des peuples originels des États signataires.

Dans dix ans, il sera impossible en France de déclarer que, par exemple, tout un pays subsaharien s’étant implanté près de Marseille ne dispose pas des mêmes droits que des Provençaux. Contredire cette doxa vous fera traiter de « fasciste » et l’Université dite « française » – déjà galeuse, au bord du gouffre financier et donc prête à tout pour remplir sa gamelle quelques semaines de plus (« Selon une source proche du dossier, la décision d’évacuation a été accélérée après le découverte de cas de gale parmi le personnel de l’université, dont certains ont demandé lundi à exercer leur droit de retrait. » France 24, le 26 juin 2018) – s’engage déjà pour pervertir les cerveaux des bacheliers victimes de la méthode globale. Comment justifieront-ils, d’abord moralement puis pénalement, leur travail de sape ? Ils en appelleront naturellement au « Pacte de Marrakech », ce pacte du métissage des peuples d’Europe ! Quant à son signataire qui a finalement rempli son rôle, il pourra parfaitement disparaître du paysage politique français soit pour mener une carrière à la Communauté dite « européenne », soit en se faisant assassiner par un autre « terroriste » qui sera à cette occasion sorti de l’ombre par des services spéciaux français exécuteurs des ordres de l’État profond. Comme l’avait dit mon poète allemand préféré : « Der Mohr hat seine Arbeit getan, der Mohr kann gehen ».

– Anatoly Livry

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